Nous sommes le 5 octobre 2011. Steve Jobs est parti. Visionnaire et talentueux, il aimait les beaux objets. Les ordinateurs et ses pĂ©riphĂ©riques, tels des extensions du corps humain. Comme pour un meuble de prix, l’aspect intĂ©rieur de l’ordinateur Ă©tait tout aussi essentiel que son extĂ©rieur. Il tenait cette exigence de son papa. L’ordinateur devait ĂȘtre beau Ă  voir, chaque chose Ă  sa place, au-dedans bien que (presque) jamais vu, tout comme au-dehors. Son amour de la calligraphie aussi, Steve Jobs le transposa dans l’informatique. Plusieurs Ă©lĂ©ments qui tiennent aujourd’hui de l’Ă©vidence, Ă©taient alors rĂ©volutionnaires.

Ceci est en l’honneur des cinglĂ©s, des marginaux, des rebelles, des provocateurs, des blocs ronds dans les trous carrĂ©s, de ceux qui voient les choses diffĂ©remment des autres. Ils ne sont pas fous des rĂšgles et ils n’ont aucun respect pour le statu quo. On peut les citer, les dĂ©noncer, les admirer ou encore les dĂ©tester, mais la seule chose qu’on ne peut pas faire, c’est les ignorer, parce qu’ils changent les choses, ils poussent la race humaine Ă  avancer. Certains voient en eux de la folie. Nous, nous y voyons du gĂ©nie, parce que ceux parmi nous qui sont assez fous pour croire qu’ils vont changer le monde, sont ceux qui le font.

Suggestion de lecture :
iSteve, intuitions, sagesse et pensées de Steve Jobs

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